« Plus de 4 000 femmes souffrent chaque année de la fistule obstétricale à la suite d’un accouchement. Malheureusement, même pas la moitié de ces personnes – elles sont à peine un millier – bénéficient d’un soin, faute d’infrastructure », affirme le ministre de la Santé publique, le Professeur Julio Rakotonirina, ce 17 mai 2019 à Ambohidahy. Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale pour l’élimination des fistules obstétricales, le 23 mai, le ministère de la Santé Publique organise une campagne de réparation et d’opération des femmes atteintes de la maladie.