Etre taxi à Tana, ce n’est pas toujours facile. Entre les embouteillages, le mauvais état des routes, le coût des carburants et le prix des pièces de rechange, il n’est pas toujours évident de trouver son compte, surtout si on est propriétaire de son taxi. Et depuis que les taxi-motos ont fait leur apparition, et ont été reconnus par les autorités, la situation est encore pire pour les taxis. Nos jeunes reporters francophones ont rencontré Henri Randrianantenaina, propriétaire-chauffeur, pour lui parler de son quotidien. Et ils ont découvert que malgré la concurrence, leur interlocuteur ne milite pas pour la suppression de ces véhicules en deux-roues de transport public. Il souhaite juste que les taxis-motos soient régularisés et soient logés à la même enseigne que les taxi-ville.
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