Une augmentation des frais de transport, même pour combler le gain manqué par les transporteurs avec la réduction du nombre des places sur les minibus, ne semble pas au programme pour le gouvernement. En cas de reprise, seuls les strapontins, les sièges créés dans les couloirs des minibus seront interdits. Le directeur général de l’Agence des transports terrestres parle de solidarité.













