Une heure, juste une petite heure de pluie intense, et la capitale de Madagascar est immobilisée, prise en otage par mère nature, transformant les zones basses en parc nautique, où la traversée aurait pu se faire en bateau comme à Venise. En une heure, tout a basculé, des vies ont basculé, poussant au questionnement sur l’urbanisme, les évacuations, les normes de construction, la démographie, l’exode urbain, etc. Maintenant imaginons la même intensité, pendant 2 ou 3 heures, 1 journée ou plus, bonne chance à tous, car il vous en faudra, et pas certain que ce jour là on ne transforme pas ce dessin en quelque chose de bien plus morbide…